Frank Miller, durant son enfance, était un lecteur assidu de comics. Il avait plus particulièrement un héros. Un héros pas comme les autres, sans pouvoirs surnaturels, et considéré comme un criminel par beaucoup. Un héros particulièrement sombre, meurtri par la mort de ses parents alors qu’il n’était encore qu’un enfant. Son nom, Batman, également appelé par les médias ou ses ennemis the dark knight, the cape crusader ou encore the vigilante of Gotham.
Travailler sur ce personnage était donc un rêve d’enfance pour Miller, qu’il a pu réaliser à deux reprises. Tout d’abord avec Batman Year One (lire le dossier ici pour en savoir plus), un comics en douze volumes ou il revisitait la première année de Bruce Wayne sous les traits de Batman, dans un Gotham gangréné par la pègre.