Top chef, saison 10, épisode 1 : les pronostics

Et c’est reparti pour une nouvelle saison de Top Chef !

La dixième saison, avec soi-disant, plus de wouaou, plus d’étoiles, des défis encore plus fous et des candidats encore plus de haut niveau (d’après la bande annonce). Moi, je m’en fous, une seule chose m’intéresse : on verra Pierre Gagnaire dans cette saison 🙂

3 épreuves au menu de ce soir : Dans la première, les candidats devaient ré-inventer les entrées de bistro (poireaux vinaigrette, avocat-crevette, terrine de campagne, ce genre de trucs) en apportant leur PERSONNALITE (très important, la personnalité).

Hélène Darroze nous propose une ré-invention du maquereau pomme de terre en farcissant des pommes soufflées avec de la rillette de hareng. Mouais. Mais du coup, elles sont plus très craquantes, non ?

La deuxième épreuve était l’épreuve classique du trompe-l’œil. Je trouve que c’est dur comme première épreuve, parce que très « quitte ou double », tu ne peux pas trop faire un résultat en demi-teinte. Pour le coup, le niveau entre les deux épreuves ne me parait pas le même.

A chaque première épreuve de chaque saison, je me demande toujours s’ils ont eu l’énoncé de l’exercice à l’avance (et de quoi s’entrainer) où s’ils font ça à l’arrache.

Personnellement, je pense qu’on les prévient avant. Mais est-ce qu’on le saura un jour ? Si vous avez des infos, dites-moi, ça m’intéresse.

Cette année, les candidats ont la possibilité de savoir en cours de route ce que pensent les chefs de leurs plats grâce à un système de feux tricolores. La production en fait tout un foin. Mouais. Bof.

Une fois les premières sélections de brigades faites, et à l’heure où les trois quarts des téléspectateurs sont partis, reste la classique dernière chance avec les gens qui n’ont pas été sélectionnés (ça ne vous rappelle pas les cours de sport au collège ? en tout cas, ça me fait la même impression). Le thème : « Hommage à Joël Robuchon ». C’est un truc pompeux pour dire = la pomme de terre.

En tout cas, cette année, j’ai l’impression qu’on a eu un peu plus d’explications techniques des chefs sur leurs méthodes de cuisine, et je dois avouer que j’ai apprécié ! Ça faisait quelques années qu’on ne parlait plus trop cuisine et qu’on parlait beaucoup « potins/stratégie ».

On a bien eu quelques moments « télé-réalité » (l’audience qui s’esclaffe quand Sarran confond « lait ribot » et « les ris de veau » ; Marie-Véronique (pardon, Victorine. Qui appelle son enfant comme ça au fait ??) qui vient expliquer aux chefs qu’elle ne servira pas son plat et qui finalement, se laisse convaincre de le servir…

Mais à part ces moments qui font un peu grincer des dents par leur côté exagéré, on est pas trop mal.

Allez, assez parlé : venons-en aux pronostics (et aussi, aux surnoms). On verra si on arrive à les mettre à jour au fil de l’avancement de la saison !

N° 1 – SAMUEL dit « Le maniaque » ou « Itadakimasu»

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“Ces choux fleurs violets vont tacher ma veste.”

J’aime beaucoup Samuel et même si je pense qu’il ne finira pas premier, c’est mon favori à moi. Déjà, il est chef à l’ambassade de Belgique au Japon. La classe ! En plus, pour une fois, un belge qui gagne Top Chef, ça serait bien cool.

Il se décrit comme maniaque et carré (une tâche sur sa tenue = le drâââme. Mec, tu travailles en cuisine. C’est normal les tâches, non ?). Il lit son cahier pour expliquer son plat aux chefs (sérieusement ?), refuse de donner la signification de son tatouage…mais il fait des blagues. Et il veut être dans l’équipe de Michel Sarran. Peut-être que finalement il n’y a pas QUE une surface de mec dans le contrôle. J’ai quand même du mal à voir l’émotion dans ses plats pour l’instant, mais vu qu’il est dans la team Sarran, ça risque de progresser.

Il balance des mots japonais à tout va, dit « itadakimasu » aux chefs avant la dégustation (ça me fait marrer malgré moi).

Je vois un gros potentiel car sa technique de cuisson de l’œuf et sa marinade avaient l’air terrible. J’ai immédiatement eu envie de les imiter à la maison.

Même si les chefs n’étaient pas hyper emballés (comprendre : il explique mal) au moment des feux tricolores, il a récolté une rafale de compliments ensuite.

L’assiette est magnifique (même si ça a l’air bien chiant à manger), les chefs louent le raffinement, la précision, l’harmonie, l’élégance.

Bref, je le sens bien aller loin. Et puis pour l’instant, il me plait. Voilà !

N° 2 ALEXIA dite « La Dangereuse » ou « La chouchoute »

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Méfiez vous, elle a l’air gentille.

Ca commençait mal pour Alexia : dans la même épreuve, deux blondes qui se ressemblent (petites, blondes, et … c’est tout, mais c’est déjà trop pour Top Chef : il faut en éliminer une).

J’ai hésité à mettre Alexia en première position (ceux qui suivent Geoffrey Degros sur Instagram savent qu’elle a récemment ouvert un restaurant…de là à penser qu’elle a gagné la finale, il n’y a qu’un pas – que je ne franchis pas pour des raisons que j’ignore).

La première chose que je pense en la voyant, c’est qu’elle est trop calme. Tellement calme qu’elle est dangereuse. « J’aime pas trop beaucoup ça ». Une fonceuse calme, méfiez-vous les mecs, vous êtes tous morts. En plus, à moitié anglaise. Et mon père m’a toujours dit de me méfier des anglais (« Remember Jeanne d’Arc ! »). Bisou, Papa.

Son plat a l’air cool, et elle récolte 4 verts : alerte chouchoute des chefs. A la dégustation, Hélène Darroze annonce un coup de cœur (et la choisit plus tard dans son équipe).

Alexia est bien partie pour gagner, mais j’ai un peu peur de sa jeunesse en finale. Après, elle est quand même seconde dans le restaurant du chef préféré de Jean-François Piège (quelle coincidence !). Donc elle doit quand même envoyer. A suivre.

N° 3 BAPTISTE , dit « Le prétentieux » ou « Mulan » ou « le pronostiqué »

Team Prétention, chapitre 1

On nous présente Baptiste sur la musique de Mulan. Et il la chante.

C’est quoi ce mec ????

D’après un article récemment paru, c’est lui doit gagner Top Chef cette année. A mon niveau, Baptiste est un arrogant prétentieux, et à ce stade je n’ai aucune envie qu’il gagne, donc je le mets en troisième position. C’est mon classement, je fais ce que je veux.

Meilleure citation de la soirée : « C’est à mi chemin entre le souvenir et l’hommage ». Rien que ça.

Le gars a fait un maquereau vin blanc en cuisant son poisson dans la marinade chaude. Moi aussi je fais ça à la maison. Mais attendez, plot twist : il a passé 20 minutes à poser des pickles dessus pour faire des écailles ! (C’est CA un grand cuisinier ?? Pour moi, non.)

Bref, pour moi c’est que de la gueule. Etchebest lui annonce que son poisson ne sera pas assez cuit : à la maison en trente minutes ça passe. Mais remarquez, je ne suis pas experte, j’ai juste suivi une recette de Pierre Gagnaire. Je m’égare. Bref, Etchebest se fera un malin plaisir à lui dire que le poisson n’est pas assez cuit, pour finalement s’écharper avec JFP (ça ira plus vite) pour choper le candidat. Et pas con, Baptiste choisit la voie de la prétention (je vous ai déjà dit que je n’ai jamais aimé JFP) et rejoint la team de JFP. Que je vais donc appellez « la team Prétention ». Vous verrez, ça marchera avec les 2 autres aussi.

N° 4 FLORIAN, dit « Le Kéké sérieux ».

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Kéké sérieux ? On verra bien.

Alors Florian, il est tatoué, percé, il a un look de kéké (la prod nous met quelques images semi torse-nu histoire de bien renforcer le truc). Mais c’est pas que ça.

On l’entend dire :  « Le physique c’est un plus mais ça va pas me faire gagner ».

Son passage dans l’émission n’est pas long, mais en quelques minutes, j’ai l’impression qu’on a affaire à un filou sensible et fragile. Intéressant….

JFP l’alerte sur le temps, puis on en entend plus parler : preuve que dès fois, les conseils des chefs, c’est vraiment nul. Surtout quand c’est JFP.

Sur la base de ses fraises et cerises en trompe l’œil, les chefs lui déclarent un potentiel énorme (et c’est d’ailleurs le seul candidat choisi par trois chefs ce soir).

Je l’ai peut-être mis un peu trop bas, mais c’est ça de jouer tout sur l’aspect, au début, j’ai tendance à me méfier.

N°5 MAËL, dit « Le petit oiseau »

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Méfiez vous, il a l’air inoffensif.

Le petit Maël est second dans un 1 étoile à 20 ans. La classe !

Il n’a pas pris beaucoup de risques avec ses churros en trompe l’œil, mais c’était bien éxécuté. Et choisi par Philippe Etchebest, qui se retrouvera donc à monter la team « Jeunes » (le plus âgé a 23 ans. Youpi !).

Je mets un bémol car contrairement à Alexia, ça me parait un jeune encore timide qui a tendance à imiter, pas à montrer sa personnalité. A suivre, mais j’ai des doutes sur sa longévité !

N°6 MEROUAN, dit « Too Much » ou « Nabilla».

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Team prétention, chapitre 2

Au début, je me dis, ce mec a une tête de mec qui n’a pas dormi la veille. Mais en fait non, c’est sa tête naturelle.

Ce mec est Too Much et balance des catch phrases à tour de bras pour percer comme Nabilla. Florilège :

« Pas le temps d’aller en dernière chance, ya match ce soir ».

« J’y vais au feeling mais je sais de quoi je parle ».

« Je vais pas vous en mettre plein les yeux, je vais vous crever les yeux ».

« En général quand ya des feux rouges je les grille ».

« Je donne jamais tout le premier soir ».

C’est un mix entre Norbert, et Tara de la saison passée (et encore, je préférais Tara). Je crains que la prod ne le garde un peu, raison pour laquelle je l’ai placé aussi haut (il faut des gens comme lui pour faire parler de l’émission).

Les chefs sont deçus car après 4 feux verts, le résultat n’est pas assez net. JFP le sélectionne malgré tout car « il a un univers ». L’univers de la prétention ?

Pas mon style, en tout cas.

N° 7 CAMILLE

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Je n’ai pas vu Objectif Top Chef et n’ai aucune idée des compétences de Camille. Je peux juste vous dire qu’elle est dans la team « Jeunes » de Philippe Etchebest, et qu’elle a 20 ans.

Je la mets au milieu du classement, pour la forme.

N°8 DAMIEN dit « La moustache » ou « Le mec en Tshirt » ou « Celui qui a cuisiné un tas de vomi ».

Mouuuustache.

Alors, Damien, c’est d’abord une moustache. Oui, il représente le Nord. Oui, il a travaillé avec Florent Ladeyn (et comme lui, il veut faire la cuisine avec uniquement les produits de son potager). Mais moi, quand je le vois, je ne pense qu’au manager de Freddie Mercury dans Bohemian Rhapsody. MOUUUUSTAAAAACHE !

Il se dit compétiteur, il ne veut pas faire des choses consensuelles. Il se fait surtout démonter sur le fait d’être en Tshirt (alors que moi, ce qui me choque le plus c’est le jean !).

Son plat (une terrine de campagne revisitée) : foie de porc en mousse, œuf mariné au vinaigre, pain brûlé et pickles d’oignon. Mouaif.

JFP lui conseille de rajouter de l’acidité. Il rajoute donc….de la crème. En disant :

« Ca va donner un côté gras pour que ça plaise au jury ». Je le sens pas hyper bien parti.

Et surtout : c’est moche. On dirait un tas de vomi. Les chefs le trouvent « plat ». Mais « intellectuel » (souvent, les deux vont ensemble).

Finalement, un peu par dépit, il se retrouve doyen de la team « Jeunes » chez Etchebest, du haut de ses 23 ans.

N°9 IBRAHIM, dit « Le comique attachant »

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Ibrahim, on a vite compris le personnage : « Maman c’est pour toi », s’exclame-t-il en tendant une fleur à la caméra.

Ce gars a l’air de prendre sincèrement du plaisir en cuisine. Il n’a pas le niveau du pack de tête, mais ça reste un mec intelligent : « Mes assiettes sont trop viriles et Hélène Darroze pourrait m’apporter un peu de rondeur ».

Et drôle : même s’il n’a pas eu le temps de fumer son assiette, il a fait un petit coup de claquettes à la fin de l’épreuve. J’ai bien aimé aussi les assiettes rouges.

Hélène Darroze dit qu’il fait une cuisine de goût (et ce sont mes cuisines préférées, personnellement). Je le mets donc ici, au dessus d’Anissa (souvent le goût va avant la technique).

N° 10 MARIE-VICTORINE, dite « la stressée » ou « la percée des oreilles » ou « Marie-Machin »

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Sur le point de pleurer à cause d’une botte de carottes? C’est possible.

Pauvre Marie Victorine. Une fille complètement bouffée par le stress, écrasée par l’image de son père. Elle nous offre un moment bof d’auto-critique larmoyante (le genre de trucs qui m’énervent et qui dénotent d’un trop gros égo).

Michel Sarran la choisit quand même, surement séduit par la plus belle fille de la promotion. Sacré Michel.

Si elle dépasse son stress, elle aura surement un bon niveau.

N°11 ANISSA, dite « La géante » ou « Kelly Rangama 2 »

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Elle est encore plus grande que ce qu’elle en a l’air.

Anissa travaille dans des palaces. Anissa cuisine des ingrédients exotiques. Anissa est grande. Anissa a beaucoup de technique mais peu d’émotion. Anissa est Kelly Rangama.

Meilleur moment d’Anissa : « Je maîtrise totalement ». Hélène Darroze : «Ca t’arrive de douter ? ». Elle : « Non. »

Et bien sûr, elle foire sa gelée de framboises : mais elle rebondit pas trop mal.

Michel Sarran dit d’elle : « ce que j’attends c’est de l’humilité et de la personnalité, et elle ne les a pas. ». Sans surprise, avoir asséné que son trompe l’œil était « le plus gros échec de sa vie » et un passage par la dernière chance, elle rejoint donc la team « Prétention » de Jean-François Piège.

Personnellement, je trouvais ses plats moches et sans personnalité. Mais les chefs ont reconnu la quantité de travail. Ça n’a jamais fait gagner Top Chef.

N° 12 GUILLAUME dit « Le gros mou »

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Pardon. Il ne faut jamais juger sur le physique.

Alors, je tiens sincèrement à s’excuser pour ce surnom plein de jugements. Mais je vous jure que ça décrit bien Guillaume (pour l’instant). J’espère pouvoir lui trouver mieux au fil des épisodes.

Guillaume a frôlé l’élimination, après un trompe l’œil plein de sucre (en même temps, avec ce physique….désolée, c’est gratuit), mais a finalement rejoint la team Sarran.

Le meilleur moment de Guillaume :

JFP : « t’es cuisinier ? » ; Guillaume : «Non, non je suis plombier ».

J’espère sincèrement que Guillaume nous réserve des bonnes surprises.

Dans le doute, je le mets pour l’instant en bas du classement.

N° 13 (éliminé) PAUL, dit « Le blond »

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Cette mèche…

Paul est propriétaire de 2 restaurants. Il est belge. Il s’est fait tout seul. Et ça se voit. Au-delà de sa mèche de cheveux d’un goût approximatif, Paul a le côté fou-fou d’un gars qui tente des trucs et se dit « sur un malentendu, ça peut marcher ».

Ça n’a pas très bien marché pour Paul, mais il a eu une mention honorable de JFP au moment de l’élimination : je le mets donc au dessus des deux autres.

Mais je retiendrais qu’il fait son bouillon bulgogi avec tout…sauf les ingrédients de la marinade bulgogi. Alors en fait, un bouillon avec du piment, ça n’est pas systématiquement un bouillon bulgogi. C’est la fin du passage où je suis snob. Paul, va faire un tour en Corée et on en reparlera.

N° 14 (éliminée) FANNY dite « La marseillaise »

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Elle ressemblait trop à Alexia.

Encore une enfant de la génération Top Chef : Fanny est sous chef chez Ludovic Turac (je suis allée chez lui il y a presque un an).

Malheureusement, avec une vinaigrette sans vinaigre et une dernière chance pas assez aboutie, Fanny repart la tête basse. Personnellement, je pense qu’elle a surtout été éliminée parce que la production avait peur qu’on la confonde avec Alexia. Appelez ça du chauvinisme marseillais.

Dommage, j’ai l’impression qu’elle en avait sous le pied. A suivre pour un éventuel retour des « candidats éliminés qui reviennent » ? Je ne crois pas qu’ils fassent ça pour les gens éliminés à l’épisode 1. On verra bien !

N° 15  (éliminé) SEBASTIEN dit « Le cliché »

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Sans commentaire.

Quel dommage que Sébastien ne reste pas plus longtemps.

On aurait tellement adoré le détester.

Un mec qui lance dans la même émission : « J’ai pas de point faible » et « Si je rentre pas dans une brigade c’est qu’il y a un souci » tout en répétant à tour de bras « Les chefs n’ont pas compris ». Une telle absence de remise en question, j’appelle ça de l’art.

Dommage. Mais s’il était resté j’aurais hurlé au scandale : au moins, la décision est juste.

En une émission, on a donc perdu 1 femme et 2 belges. Mais que font les minorités ?

Allez, merci et à la prochaine !

PS : Je n’ai pas encore trouvé de surnom pour la team Sarran et la team Darroze, mais si vous avez des idées, n’hésitez pas !

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